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    Création : 04/11/2012 à 16:39 Mise à jour : 18/07/2014 à 15:47

    Chapitre 7: Tout le monde mérite d'avoir sa chance.

    Chapitre 7: Tout le monde mérite d'avoir sa chance.

    Maison des Tomlinson, Doncaster.
    Samedi 9 Juin 2012; 13heure10.
    Point de vue externe.



    Deux séduisants jeunes hommes descendirent les escaliers, laissant une jeune blonde dans tous ses remords. Le blond plaqua son fidèle ami contre le mur en lui déclara droit dans les yeux.
     

    - Pas un mot à propos de ce qui vient de se passer dans cette chambre d'accord ?
    - Et pourquoi ?
    - Tu es con ou tu le fais exprès ? Je dois te rappeler comment ça a finis la dernière fois ou tu es en capacité de te remémorer tout sa seul Payne ?
    - Tu parles de.
    - Fermes-là on va nous entendre.
    - Ok d'accord j'ai compris Horan. Un conseil ne recommence surtout pas.


    L'Irlandais acquiesça d'un simple hochement de tête. Il prit son meilleur ami par l'épaule et rejoignirent perplexes leurs amis . Les trois chanteurs étaient assis, silencieux, attendant le reste du groupe. Le plus âgée se leva enragé et coupa ce silence de plomb.
     

    - On va devoir parler les gars.
     

    Les garçons prirent tous place sur le canapé. Le Pakistanais rétorqua sans hésitation.
     

    - Louis écoute, tu comptes faire quoi ? Nous réunir, nous faire la morale, nous rabaisser, nous remémorer une période de notre vie que je caractériserai de pas "très gaie", de plomber l'ambiance ? Je ne veux pas comme l'an passé à faire comme toi tu veux. Ça avait déjà mal tourné de cette façon. Plus de plans et de coups en douces cette fois Louis. C'est fini. On est assez grand pour se prendre en main
    - C'est du groupe que l'on parle Zayn là, pas de ta petite personne. Louis a tout à fait raison, il vaut mieux rester prudent, acquiesça Harry.
    - Merci Hazza. Les gars, je ne veux pas vous dire ce que vous devez faire ou non. Je veux juste que tout ne tourne pas mal. Zayn, fais ce que bon te sembles. Cette fille, je ne la sens pas du tout. Elle va encore tout changer entre nous. Au Niall, comment ça s'est passé avec elle ? Questionna Louis.
    - Ah oui Horan raconte-nous. Tu es resté avec elle pendant 20 minutes. Tu as continué ton joli charme d'Irlandais, ria un bouclé.
    - Elle.
    - Styles fermes là. Je me suis excusé au nom de vous tous et elle m'a répondu, je cite : « Et dites aux autres que s'ils avaient des couilles; ils seraient venus eux-mêmes. ». Je ne crois pas que pour elle, mon charme fonctionne. Elle a vraiment du caractère tu sais.
    - C'est que tu lui trouves toutes les qualités à ta future femme. Même quand elle insulte tes meilleurs amis, charriant le plus jeune.
    - Niall à une touche, je vous l'ai dit. Il s'est passé un truc dans cette chambre j'en étais sûr ! Mais Payne, je ne te croyais pas comme sa hein, petit coquin. Regardez comment il rougit, enchaîna le pakistanais.
    - Oser.
    - Malik, Hazza franchement fermez-là. Vous êtes les premiers à déconner, mais après, quand il s'agit de choses sérieuses il n'y a plus personne ! Hurla Niall.
    - Dire.
    - Et c'est toi qui dis ça Niall ? Tu n'as même pas été fichu de la rattraper quand elle est partie, s'énerva Harry.
    - Tu n'as même pas été capable de voir qu'elle allait mal à tes côtés ! Renchérit Niall.
    - Stop, arrêtez à la fin. Tout le monde commet des erreurs dans la vie. On en est tous conscients ici que chacun à sa part de responsabilité. Mais arrêtez de remuer le passé. En plus, notre Tommo ne peut même plus en placer une ! Déclara sereinement Liam.
    - Merci Payne. Putain les gars, on est encore en train de s'engueuler pour une fille là. Elle n'est pas rester une minute qu'elle fou déjà le bordel. Regardez-nous. Ça recommence encore. Écoutez, je ne vais empêcher personne de faire quoi que se sois. Cependant, rien ne doit nuire au groupe ou à chacun de nous.
    - Je suis d'accord, cria Liam en se levant. Les gars ?
    - On suit, lancèrent les deux bruns.


    Le jeune blond hésita. Tout le monde dans cette pièce savait très bien qu'il était partagé entre ses meilleurs amis et une belle adolescente. Non, il ne ressentait rien pour elle. C'était beaucoup plus complexe. Ce sentiment de se sentir obliger d'être là pour cette personne sans même la connaître. Cette sorte de culpabilité lointaine et attachée à votre âme. Cette seule solution qui est d'aider une parfaite inconnue. Pas par devoir ou obligation; non parce que vous le devez. Pour ne rien attendre en retour sûrement, mais juste pour être rien qu'un instant, détacher de cette culpabilité profonde qui vous ronge chaque jour.



    Chambre d'Adysson.
    Samedi 9 Juin 2012; 13heure30.
    Point de vue Adysson.



    Cela faisait peut-être une vingtaine de minutes que ce sourire était accroché à mes lèvres. Ma joue humide par mes larmes pouvait encore sentir ce doux et attentionné baiser. Une éternité que cette sensation avait disparue. Elle revenait subitement, au moment où l'on se doutait de rien. Ce garçon, Niall si je me souvenais bien, dégageait une harmonie pure. Une mélodie dans son regard. Avait-il fait sa par sincérité ou par intérêt ? Cela dit, je ne comprenais pas l'attitude de Louis et du bouclé.

    L'étage inférieur était envahi de cris des garçons. Ils devaient se chamailler pour moi ; encore une fois. 


                                                                                                      _/ FLASH-BACK \_

                                                     «  Elle est tout simplement la pire chose qui nous soit arrivée chérie. »

                                                                                              _/ FIN DU FLASH-BACK \_


    Une parole maternelle. J'avais été un fardeau toute ma vie, depuis ma naissance. Je le savais. Un cri sortit de ma poitrine. Mes jambes vacillèrent: "la pire chose". Ces mots résonnèrent dans ma tête.



    13heure57.



    - Adysson ?
     

    Une voix féminine m'appelait en répétition. J'ouvris difficilement les yeux. Les rayons de soleil m'empêchaient de voir cette femme en face de moi.
     

    - Eh Adysson !


    C'était Victoria. Ses yeux étaient en larmes à elle aussi, rouges et gonflés. Ses vêtements étaient couverts de sang.


    - Adysson. Oh mon Dieu tu vas bien !
    - Victoria ? Qu'est ce que tu fais là ?
    - Ma chambre est juste en face de la tienne ne l'oublie pas, soupira-t-elle.
    - Tes vêtements sont en sang, tu es en larme.  Qu'est ce qu'il s'est passé ?
    - Tu as crié tellement fort si tu savais. J'ai regarder à travers ma fenêtre, tu courait partout, tu balançais tout par terre quand je suis rentrée, mais cela n'a duré qu'un instant. Tu étais là, tu te taillais les veines. Quand tu m'as vue à la porte, tu étais incontrôlable. J'ai dû te sauter dessus pour que tu arrêtes. Les garçons sont montés en quatrième vitesse. Louis était prêt à te tuer. Les autres ne bougeaient pas, ils n'avaient jamais eu aussi peur. J'ai donc fermé la porte à clef. Louis criait, hurlait, tapait contre la porte, injurié. Ils ont dû partir ensuite car il n'y avait plus aucun bruit. Tu marmonnais des mots incompréhensibles. Puis plus aucun bruit. Tu t'es sûrement évanouie. Je, je ne savais pas quoi faire. Je n'avais jamais vu sa. Adysson, pourquoi ?



    Maison des Tomlinson, Doncaster.
    En ce moment même, à l'étage inférieur.
    Point de vue externe.



    Deux garçons criaient à ne plus s'entendre eux-mêmes. Un était paralysé de peur tandis que son ami essayer tant bien que mal de le ramener a la réalité. Et enfin, un dernier fumait une cigarette poser sur le rebord d'une fenêtre. Liam décida alors de s'imposer dans ce désordre.
     

    - Oh Oh Oh. On va se calmer là. Louis, Harry asseyez-vous. Zayn pose cette clope. Ce n'est pas en fumant que tu vas tout arranger. Et Niall putain, reprends tes esprits.
    - Assis ? Une fille essaye de se tuer, Victoria revient et tu veux qu'on se calme. Mais je rêve là ! Louis, arrête d'insulter tout le monde s'il te plaît, cria Harry.
    - Victoria est revenue, déclara Niall semi-présent.
    - Niall change de disque, frappa Liam.


    Harry finit par calmer son meilleur ami en l'asseyant sur le sofa.
     

    - Lâche-moi Harry, je peux me calmer tout seul.
    - Tu vas changer de ton avec moi Louis, je ne suis pas ton chien !
     

    Le blond se leva, frappa Harry, Louis et Liam puis reprit sa place. Ses 3 amis se levèrent et se jetèrent sur l'irlandais. Les coups volèrent dans tous les sens. Zayn se retourna, choqué de voir ses meilleurs amis se battre. C'était la première fois. Il jeta sa cigarette, courut vers ses amis. Le brun trébucha sur une pile de dossiers en désordre et vit une pochette en carton noté "ADYSSON".
     

    - Vos gueules !
     

    Tous s'arrêtèrent net. Ils fixèrent le brun qui prit le dossier.
     

    - Zayn, je t'interdis de toucher les dossiers de ma mère. C'est le secret médical ! Je lui aie juré, ait un peu de respect une fois dans ta vie mec.
    - Même si je te dis que ce dossier porte sur notre suicidaire ?
     

    Le plus vieux du groupe resta perplexe. Sa mère lui avait toujours interdit d'y toucher. Sa curiosité prit le dessus.
     

    - Montre-nous sa !



    Maison de Victoria, Doncaster.
    Samedi 9 Juin 2012; 14heure22.
    Point de vue Adysson.




    Victoria était une adorable personne. Elle paraîssait brute aux premiers abords, mas douce dès le moment où elle vous faisait entrer dans « son monde » comme elle le disait si bien. Curieuse, elle voulait tout savoir de moi. Je ne lui avais encore rien dévoilé sur moi.
    À personne.
     

    - Comment se passe la cohabitation chez les Tomlinson ?
    - Bien.


    Des réponses brèves accompagnées d'un léger sourire. C'était tout ce qui pouvait sortir de ma bouche : des mensonges. La honte de son regard, de sa réaction.


    - Tu viens de quelle ville ?
    - J'ai toujours vécu ici.


    J'étais honteuse.
     

    - Pourquoi tu n'es pas avec tes parents ?
    - Ils sont morts.


    Je mentais, je n'arrivais à rien.


    - Comment trouves-tu les garçons ?
    - Géniaux.


    J'étais ridicule.


    - Tu as des frères et s½urs ?
    - Non.


    Mon sourcil droit tremblait quand je mentais. Il bougeait beaucoup. À mon plus grand étonnement, Victoria ne remarquait rien.
     

    - Lottie est vraiment adorable, tu ne trouves pas ?
    - Un ange.


    Mes réponses devenaient moins claires au fil du temps. Victoria l'avait remarquée de par ses regards intriguant à mon égard.
     
    - Adysson ?
    - Oui ?
    - Arrête.



    Maison des Tomlinson, Doncaster.
    Samedi 9 Juin 2012 ; 15heure40.
    Point de vue Louis Tomlinson.



    C'était la panique générale. Ce passé tant redouté refaisait surface. Je pensais l'avoir enterré. Pas pour toujours non, mais j'espérai pour un petit moment. Elle venait foutre le bordel, elle venait tout mettre en l'air.

    Le dossier était posé sur la table. Nos yeux le fixaient. Nous étions perplexes à l'idée d'ouvrir la vie intime d'une parfaite inconnue. Je me levai pour ainsi déclarer.


    - On ne va pas rester des heures et des heures à se regarder dans le blanc des yeux, les gars sérieux !
    - Ce n'est pas une décision facile, répondit Harry.
    - Haz à tout à fait raison. Je n'aie pas envie que ce dossier nous porte des quelconques ennuis, déclara Liam.
    - D'accord avec toi Liam, relança Zayn.
    - Je ne regarderai en aucun cas ce dossier, protesta Niall.


    Personne ne me répondit. Niall soupirant, se leva en prenant l'escalier.


    - Niall tu vas où comme ça ? Demandai-je.
    - Je vais voir si Adysson va bien.
    - Elle est partie avec, rétorqua Zayn en n'ayant pas la force de finir.
    - C'est bien pour ça que je vais la voir ! le coupais-je.


    Niall monta en quatrième vitesse à l'étage. Je regardai les garçons. Aucun d'eux ne bougeaient.
     

    - Liam ouvre le dossier s'il te plaît.
    - Non ! Je suis désolé, mais c'est non.
    - Harry ?
    - Je ne te suis pas sur le coup désolé.
    - Zayn ?
    - Euh.
    - Alors vous êtes comme ça vous, vous voulez tout savoir sans vous bouger le cul c'est sa ?
    - Ce n'est pas sa Louis, tu le sais bien. Mais c'est le dossier à ta mère et puis, bafouilla Harry.
    - On veut avoir notre conscience tranquille, lança Liam.
     

    Je me retournai vers Zayn qui ne disait rien. J'étais stupéfait : Zayn avait la tête plongé dans l'épais dossier blanc d'Adysson, Il leva sa tête, me regarda intrigué et déclara.


    - Quoi ? J'en ai marre des coups de gueule de chacun. J'assume toutes les conséquences.
    - Merci Zayn. Alors qu'est ce qu'il y a d'écrit ? Demandai-je.
    - Beaucoup de choses.
    - Comme ?
    - Nom (s) : Waine. Prénom(s) : Adysson Mary. Date de naissance : 28 Juin 1995. Lieu de naissance : Manchester, Taille: 1m70. Poids: 70kg. Date (s) d'internement (s): Première venue le 17 Septembre 1999, jugée par son médecin traitant et avocat de la suivre. Deuxième venue le 7 Mai 2011 pour accident inconnue et perte de la mémoire. Remarque de son médecin généraliste: Perte complète de la mémoire, suivi psychologique, tendances bipolaires se mutile beaucoup, pas de visites. Remarque de son psychologue: perdue, bipolaire, à des flash-back sur son passé, isolé, est devenue muette avec le temps.Date de sortie: 2004, adopté par Monsieur et Madame.
    - Continu Zayn, criai-je.
    - Regarde par toi-même !


    Je pris alors le dossier, cherchai l'endroit confus de Zayn. Je lis le nom de famille de la famille adoptive d'Adysson. Le dossier tomba au sol. J'essayai tant bien que mal de reprendre mes esprits, je ne pouvais pas y croire une seule seconde. C'était impossible Je m'assis sur le fauteuil. Les garçons se penchèrent sur moi. Voyant que je ne voulais rien dire, ils prirent chacun leur tour le papier et lurent cette révélation. Harry continua de lire.
     

    - Dates de sortie: 2012, héberger sur autorisation par Johanna Tomlinson, infirmière.
    - Pourquoi ne nous a-t-il rien dit ? Lâcha Liam énervé.
    - Il m'a parlé d'une petite amie qu'il a eue, mais qui a ensuite disparu. Il ne m'a jamais dit qu'il avait une s½ur ! Dit Harry choqué.
    - Je vais prendre l'air les gars.
    - Attends Zayn, ne commence pas à partir toi aussi. On fait quoi maintenant hein ? Criai-je fortement.
    - Parler à Adysson, proposa Zayn tout simplement.
    - Hors de question que je parle à cette folle ! déclarai-je impartial.
    - Je suis du même avis que Zayn. Louis, elles ne sont pas toutes pareilles. Chaque être est différent avec ses qualités et ses défauts. Et ce n'est pas parce qu'elle pourrait nous faire revivre un passé douloureux que nous devons la rejeter. Elle n'y est pour rien dans toutes ces histoires. Nous n'avons pas le droit de lui faire tout porter.
    - Liam le philosophe, soupira Harry en s'affaissant un peu plus dans le fauteuil de cuir.
    - C'est vrai que tu as raison Liam. Mais je suis désolé, je n'y arrive pas. S'ils l'apprennent, tout va changer. Tout va redevenir comme avant. Vous avez vu comment elle était tout à l'heure. Elle est vraiment fragile. Si cette fille apprend tout, elle restera ici, dis-je désespéré par la situation.
    - Faisons alors en sorte qu'il ne se croise pas alors, dit Harry mesquin.
    - Moi je vais fumer, ça me monte à la tête tout ça là. Écoutez, faites ce que vous voulez. Tout ce que je veux, c'est que tout reste comme c'est, répondit Zayn en se dirigeant vers la cour arrière.
    - On est tous d'accord alors, finis-je par déclarer en enlaçant mes meilleurs amis.



    Maison de Victoria, Doncaster.
    Samedi 9 Juin 2012; 16h07.
    Point de vue Adysson Waine.





    Le regard insistant noir de Victoria me laissa sans voix. Elle savait quelque chose, mais elle ne voulait rien dire. Elle rompit alors ce silence:
     

    - Je sais très bien que tu es rejetée par les garçons.
    - Pas du tout.
    - Je suis sûre de moi.
    - Pourquoi donc ?
    - Je l'ai.
    - Continue. Je ne te jugerai pas.
    - Je connais très bien les garçons. Je l'ai déjà vécu. Ils ne t'ont pas accepté à cause de notre passée. Et je le regrette, car maintenant, tu en souffres. Je suis tellement désoler Adysson, si tu savais.


    Les larmes coulèrent sur sa joue. Je me jetai à son cou. Ses mains s'agrippèrent à mon cou, tout comme pour demander de l'aide.


    - Que veux-tu dire par là ? Comment les connais-tu ?
    - Ce n'est pas la première fois. Je reviens dans cette maison. J'y ai déjà vécu auparavant.
    - Oui, continue.
    - Ne me coupe pas alors.
    - D'accord.
    - C'était il y a un an. J'habitais içi. Les garçons et moi étions très proches. On était toujours ensembles, une sorte de bande, des meilleurs amis. Mais pour une seule et unique personne, je ressentais quelque chose de plus profond, de plus fort et sincère. Et je crois bien que c'était réciproque. On se cachait au reste du groupe, car on savait très bien qu'on ne devait pas. Niall était fabuleux, attentionné, il allait à mon rythme et comprenait J'étais heureuse. Puis, un soir je suis rentrer d'une soirée dans un mauvais état. Niall n'était pas là. Mais Zayn était sur le canapé. Je me suis réveillée le matin, dans ses bras. On avait fait une belle connerie, je te le confirme. Niall nous a surpris. Tout a explosé, tous les garçons se disputaient. One Direction était au bord du gouffre à cause de moi. Alors un matin, je suis venue chez Louis. J'ai présentée mes excuses à tout le monde et je suis partie. Je n'ai plus eu de nouvelles depuis. Et je les comprends très bien. J'ai fait souffrir tout le monde. Et tu en payes en partie les conséquences. C'est en partie à cause de moi.
    - En partie ?
    - Oui. Durant notre belle période, une fille de l'hôpital de Johanna est venue habiter chez Louis. Harry et elle étaient fous amoureux l'un de l'autre. On ne pouvait pas les séparer une seule seconde. Une après-midi, elle s'est suicidée sans raisons. Elle n'a pas laissé de lettre; rien. C'est pourquoi Harry doit t'en vouloir aussi. Écoute, toutes ces histoires n'ont pas étaient des périodes très belles pour les gars ainsi que pour moi. Je ne devais pas te le dire. Mais ça te concerne en quelque sorte. Ils n'ont pas le droit de te traiter de la sorte. Tu as le droit d'avoir une chance toi aussi.


    Brusquement, la porte d'entrée s'ouvrit pour laisser place à un jeune homme. On se leva. il courut vers moi, puis m'embrassa tout en murmurant:


    - Je suis désolé.

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    Modifié le vendredi 01 novembre 2013 06:29

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